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Malgré une interdiction d’exercer de 18 mois prononcée par le CNAPS — pour des faits graves tels que la sous-traitance illégale et des manquements répétés aux obligations sociales et fiscales — les activités de PROTECTIM se poursuivent sous un nouveau nom, avec les mêmes effectifs et pour les mêmes clients.
Un tour de passe-passe qui interroge sérieusement sur l’efficacité réelle des sanctions du CNAPS.
- Pourquoi un tel silence de la part des syndicats patronaux et des donneurs d’ordre ?
- Les instances représentatives du personnel ont-elles été consultées dans les règles ?
- Et surtout : à quoi sert le CNAPS si ses décisions peuvent être aussi facilement contournées ?
Il est urgent que les autorités compétentes se saisissent de ces dérives pour garantir l’intégrité du secteur de la sécurité privée.